Site icon Pionniers.org

Devenir écolo : des petits gestes, de grandes joies

Source: flickr.com

Être écolo, oui, mais par où commencer? Vous trouverez ici quelques exemples de gestes écologiques classées par thèmes (eau, alimentation, transports, énergie,…) qui vous mèneront sur la voie salutaire de l’écologie. Il peut en coûter parfois quelques efforts, parfois non ; quoiqu’il en soit, les contraintes vont paraîtrons négligeables très rapidement.

En vous engageant dans une démarche de gestes écologiques, vous ressentirez la satisfaction et le bonheur d’être acteur d’un véritable changement de société, de simplifier votre vie, de vous reconnecter à votre environnement et aux autres, tout en faisant des économies. Être écolo, c’est d’abord un état d’esprit :

  1. Être conscient de l’impact environnemental de chacun de nos actes. Bien sûr, quand on parle d’un « acte »,  il s’agit bien sûr d’actes de consommation et de mode de vie. Chaque objet, si écolo et vertueux qu’il puisse paraître, a nécessité des ressources pour sa production, et deviendra déchet en fin de vie.
  2. Garder en tête la règle des « 4 R » : Réduire, Réutiliser, Réparer, Recycler. Réduire, c’est à dire « ne pas acheter si c’est superflu ». Réutiliser, pour conserver l’existant et prolonger sa durée de vie en réparant. Réparer, c’est rendre un objet défaillant à nouveau fonctionnel (c’est souvent beaucoup plus simple qu’on ne pense, et apporte une grande fierté). Recycler, c’est à dire donner une nouvelle vie à un objet quand c’est possible.
  3. Se souvenir que chaque achat est un « vote ». A vous de bien voter pour encourager certaines démarches ou en sanctionner d’autres. Libre à vous aussi de ne pas donner votre vote, en évitant tout ce qui superflu.

Voyons concrètement les actions, trucs et astuces à mettre en place pour devenir écolo au quotidien, sans pour autant retourner vivre à l’âge de pierre. Car être écolo, c’est redécouvrir avant tout que la vie est un plaisir !

L’eau

On commence par l’eau, car vous le savez, sans eau, pas de vie. Il s’agit clairement de notre bien le plus précieux, même si on a tendance, par son accès facile et son apparente abondance, à l’oublier. Et l’eau peut aussi rapidement devenir une ressource rare, même dans des contrées où elle semble abondante. Outre sa rareté, sa collecte,son retraitement et son transport jusqu’à nos robinets nécessitent d’importantes ressources, d’où le besoin de l’économiser.

La consommation d’eau directe

Source: Ume-y, Flickr.com

Ce n’est pas la plus grande partie de notre consommation, mais c’est la plus visible. La consommation moyenne directe d’eau est d’environ 148 litres par jour et par personne (2014). Elle est passée, en France, de 106 litres par jour et par habitant en 1975, à  un pic de 165 litres par jour et par habitant en 2004 (source). Ces chiffres comportent de forte disparités selon l’âge ou la catégorie socio-professionnelle. Plus le niveau de vie est élevé, la consommation d’eau l’est aussi (voir le site du Centre d’information sur l’eau).

Voici la répartition par poste de consommation de cette eau directe : l’hygiène (bain et douche) représente près de 40% de la consommation moyenne, la boisson 1%. Bravo à vous si vous ne prenez plus de bain (que vous remplacez bien évidemment par des douches, « écolo » n’est pas égal à « crado »). Outre le fait que vous économiserez de l’eau, c’est aussi une économie liée au chauffage de l’eau, qui représente 11% de la consommation moyenne d’énergie d’un foyer. On abordera ce point plus bas.

Source: Centre d’information sur l’eau

Pour réduire votre consommation d’eau, vous pouvez  installer des réducteurs de débits (ou « mousseurs ») sur vos robinets. L’installation est extrêmement aisée, et en quelques semaines vous aurez amorti votre investissement initial de quelques euros, sans même vous en rendre compte. On conseille une réduction de 30% dans la cuisine, et de 50% dans les salles d’eau et salles de bain. Vous pouvez aussi opter pour des pommeaux de douches à débit réduit.

Pour la consommation vitale, on boira bien évidemment l’eau du robinet et non l’eau en bouteille plastique, qui ont de nombreux impacts négatifs sur l’environnement : durée de vie courte et donc déchet plastique, transport en camion, privatisation des nappes phréatiques

La consommation d’eau indirecte

L’économie d’eau se trouve également dans la consommation d’eau nécessaire à la production de la nourriture ou des produits que l’on consomme. C’est de l’eau que nous prélevons, mais que nous ne voyons pas.

Crédit photo : Pimthida
« cow » (Flickr.com)

A retenir : la consommation d’eau « indirecte » est bien plus élevée que la consommation  d’eau « directe ».  Le secret de l’économie de l’eau est donc la sobriété alimentaire (moins de viande) et matérielle (non, » je ne craquerai pas sur cette n-ième paire de chaussures »).

Voici un petit résumé de consommation d’eau nécessaire* à la fabrication ou culture de quelques produits (source : waterfootprint.org ).

Produit Quantité Eau nécessaire (en litres)
Paire de chaussures 1 8000
Steak haché 150g 2400
T-shirt en coton 1 2000
Verre de lait 200ml 200
Verre de jus de pomme 200ml 190
Paquet de chips 200g 185
Verre de jus d'orange 200ml 170
Tasse de café 125ml 140
Oeuf 40g 135
Verre de vin 125ml 120
Verre de bière 250ml 75
Pomme 100g 70
Orange 100g 50
Tranche de pain 30g 40
Tasse de thé 250ml 35
Puce électronique 2g 32
Pomme de terre 100g 25
Tomate 70g 13
Feuille de papier A4 1 (80g/m²) 10

En partant du principe que l’on consomme, comme nous le recommande le lobby de la bouteille en plastique, 1,5 litre d’eau par jour, nos chaussures (en cuir) représentent 14 ans de notre consommation vitale. Un t-shirt ou un steak de 150 grammes, plus de 4 ans. Une simple feuille de papier, une semaine.

* Comme l’a précisé Marinette dans les commentaires ci-après, le tableau présenté montre la consommation d’eau « verte », c’est à dire en tenant compte de l’évaporation naturelle des sols. Il est à noter qu’il ne s’agit pas du calcul « net » d’évapotranspiration (que ce calcul n’est en fait pas la pure consommation d’eau destinée à la production).

Plus d’informations sur le calcul de l’empreinte en eau des cultures et animaux sur le site waterfootprint.org ( pdf en anglais, tableau page 25).

L’alimentation

Crédit photo: Dana McMahan « week 8 farm share » (Flickr.com)

La nourriture est une des plus grandes sources d’impact sur notre environnement, qu’il s’agisse de la destruction de la biodiversité ou du réchauffement climatique.

Quelques petites règles simples :

Attention à certaines sociétés sur le web (par exemple une histoire d’abeilles qui acquiescent), à but (très) lucratif, qui vous vendent du « circuit court », en prélevant des commissions (qu’ils appellent « frais de services », donc « non, ça n’est pas une commission mon bon monsieur »), et souvent proposant un seul producteur qui produit fruits, légumes, viandes etc (autant dire qu’il s’agit là d’un intermédiaire et non d’un producteur). Bref, rendant les producteurs à nouveau dépendant d’un intermédiaire… L’inverse d’un « circuit court »en somme.

Les transports

Idéalement, et ce n’est pas un secret, il faut réduire la voiture au maximum. Selon le lieu d’habitation, cela peut être aisé ou extrêmement compliqué au quotidien. Mais c’est souvent plus bien facile qu’on ne le pense. A vous de faire ce qui vous semble juste et possible. En cas d’abandon de la voiture, vous verrez sans doute rapidement un impact positif sur vos finances (près de 500€ par mois en moyenne) .

Privilégiez les transports « doux » : les transports en commun, le covoiturage, le vélo ou encore… la marche à pieds.

Abandonner la voiture est beaucoup plus facile qu’on ne pense ! Et vélo et marche à pieds vous apporteront très rapidement un bien être physique insoupçonné. Et puis, on peut également adopter le transport multimodal : une partie de son trajet en transports en commun puis en vélo, une partie en covoiturage puis transports en commun.

Illustration de l’espace occupé par 200 personnes : 1- en voiture, 2- sans voiture, 3-dans 3 bus, 4-en tramway, 5-en vélo. Source: International Sustainability Commuter Toolkit, images prises à Seattle

Voici la liste des alternatives possibles selon le besoin en transport :

L’énergie

Le fournisseur d’électricité

Il est très simple de changer de fournisseur d’électricité. Pas besoin de l’intervention d’un technicien, tout peut se faire depuis chez vous, depuis votre écran, en quelques minutes : il suffit de souscrire chez un nouveau fournisseur, la résiliation de l’ancien se fera automatiquement.

Il existe de nombreuses offres labellisées « 100% renouvelable », mais l’énergie achetée provient souvent d’en dehors des frontières de la France. Ou sert les intérêts de quelques un. Pour une énergie locale et renouvelable, payée au juste prix au producteur, le fournisseur s’appelle Enercoop.

Précisons que ce billet n’est pas sponsorisé par Enercoop ; il s’agit uniquement, à la date de rédaction de cet article, de l’acteur du marché le plus en phase avec les principes de l’écologie.

Enercoop est un réseau de coopératives régionales -ce qui est déjà un excellent point en soi- qui ne fournit que de l’électricité d’origine renouvelable (hydraulique, éolien, photovoltaïque, biomasse). Avec ce fournisseur, vous savez précisément d’où vient votre énergie, et surtout à qui vous la payez.

En passant chez un fournisseur d’électricité 100% d’origine renouvelable et local, vous opérez un choix de consommation encourageant son développement. Et en plus, les tarifs sont sensiblement les mêmes (plus ou moins 10%) qu’avec l’opérateur historique EDF ou les autres acteurs du marché.

Carte des producteurs d’électricité d’Enercoop

Prêt ? Pour changer de fournisseur, c’est par ici.

Temps estimé pour désormais financer les énergies renouvelables au lieu du nucléaire : 8 minutes.

La consommation d’électricité

S’il est bon d’utiliser une électricité qui provient de sources renouvelables, c’est encore mieux de réduire ses besoins.

Le site web d’Enedis (anciennement « RTE » – Réseau de Transport d’Électricité) permet de situer sa consommation par rapport aux habitants de la même région. Pour créer votre compte, il vous suffit d’avoir accès au numéro de « Point De Livraison », figurant sur votre dernière facture d’électricité ou sur votre compteur.

Une forte marge de progression illustrée sur ce graphique.Le site propose également des conseils pour optimiser et réduire sa consommation d’énergie.

Les principaux postes de dépenses en énergie d’un foyer sont répartis comme suit (source: EDF). On abordera la question du chauffage dans le point suivant.

Voici la répartition moyenne observée de l’énergie consommée par les appareils électriques, toujours selon la même source :

Le chauffage / la climatisation

Comme vu précédemment, le chauffage représente près des deux tiers de la consommation énergétique du logement. Là encore, pas de secret. Le chauffage et la climatisation sont extrêmement énergivores.

En hiver, le secret est de baisser son chauffage et de se couvrir un peu plus, plutôt que d’imaginer qu’il est normal de se promener en t-shirt chez soi alors que les températures sont négatives dehors. Baissez de quelques degrés le chauffage, notamment la nuit, et vous ferez des économies substantielles.

En été, pensez à fermer les volets en journée et fermer les fenêtres afin de conserver la fraîcheur, et adopter les stratégies recommandées par le gouvernement.

L’idéal reste d’isoler au maximum son logement pour éviter de souffrir des aléas climatiques ; de nombreux dispositifs d’aide existent.

Les déchets

Là aussi, la première règle serait la réduction. Comment produire moins de déchets ? En achetant moins. Dès lors qu’on anticipe la fin de vie de chaque achat, on y réfléchi à deux fois avant d’acheter. Être écolo, c’est aussi faire des économies.

En ce qui concerne les achats indispensables (type alimentation si vous n’êtes pas -encore- autosuffisant avec votre potager), on réduit ses déchets :

Après la réduction, il nous reste quand même quelques déchets. Et oui, le « 0 déchet » n’est pas pour demain, alors occupons-nous de notre masse (réduite) d’ordures.

Crédit photo: Jean-Louis Zimmermann « poubelle recyclage », square Notre Dame (PARIS,FR75) (Flickr.com)

Ah, le tri… On ne sait jamais quoi mettre dans quelle poubelle. Les pots de yaourt, c’est recyclable ?  Et il faut les laver ?Et bien non, les pots de yaourt ne sont pas recyclables. Deux règles incontournables du serial trieur :

Toutes les réponses aux questions que vous vous posez sur le tri des déchets figurent sur le site Consignes de Tri d’Eco-emballages.

Pour vos déchets électroniques, ne croyez pas forcément les professionnels qui vous disent que c’est moins cher d’acheter un nouvel appareil que de réparer l’existant… On abordera ce point un peu plus bas.

L’argent

La banque

Depuis février 2017, il est possible de changer très facilement de banque.

Et là, votre choix s’orientera vers des produits labellisés Finansol. Et oui, être écolo, c’est aussi être solidaire.

Comme pour l’énergie, le choix est plutôt limité. Mais néanmoins efficace. Il existe deux organismes qui se distinguent sur le plan de l’écologie: le Crédit Coopératif, et la NEF.

Le Crédit Coopératif est, comme son nom l’indique, une banque coopérative. Vous en apprendrez plus sur sa fiche Wikipedia et sur son site.

Quant à la NEF, il s’agit d’une coopérative de finance solidaire, agréée depuis 1988 pour collecter de l’épargne. La coopérative est en train d’évoluer pour proposer d’ici peu l’ensemble des services bancaires classiques (compte courant notamment). Plus d’info sur Wikipedia et sur le site de la NEF.

Les placements

Si vous avez de l’argent à placer, vous pouvez le placer dans des organismes qui adhérent au principes écologiques. Un des placements possibles est celui de l‘association Terre de Liens : vous investissez dans des terres visant à l’installation d’un agriculteur, qui s’engage à avoir des pratiques respectueuses de l’environnement. Et qui plus est, vous empêchez que d’autres personnes ayant des objectifs moins louables ne s’accaparent la terre.

La monnaie locale

Si vous êtes un ninja écolo, alors la monnaie locale est faite pour vous. L’idée est d’inciter et soutenir une consommation locale. Il en existe de nombreuses en France et dans le monde.

L’électronique

Le smartphone

L’idéal est de conserver le smartphone que vous avez le plus longtemps possible. En effet, la production d’un seul de ces appareils nécessite l’extraction de nombreuses ressources, dont des métaux rares. Cette extraction a un impact environnemental gigantesque. Parfois, quelques actions simples permettent de remettre un smartphone à neuf.

Si vous devez changer de smartphone, optez pour le plus durable ; on proscrit donc les Iphones (qui ne sont plus mis à jour après un certain temps), et qui sont souvent très difficilement réparables (voir le classement élaboré par Ifixit).

Idéalement, on choisira un appareil tournant sous Android, avec une batterie amovible (une batterie est souvent le premier élément défaillant après 18 ou 24 mois). Pour les plus geeks, le fait qu’il soit sous Android permettra de réinstaller une version « pure » d’Android, et surtout actualisée (LineageOS par exemple), et ce même longtemps après que le constructeur n’assure plus officiellement de mises à jour.

Et surtout, on le choisira reconditionné (ce qui permet une belle économie au passage). Il existe un site qui répertorie les offres de différents reconditionneurs : BackMarket.

Si vous voulez un appareil neuf mais respectueux de ses approvisionnements et éthique, il faut se tourner vers Fairphone.

Plus d’infos sur les smartphones écolos ici.

Le PC

Là encore, il s’agit de conserver le plus longtemps possible son ancien appareil, pour éviter de créer du déchet électronique et ne pas stimuler une course à la production. A noter que la production d’un ordinateur émet en CO2 l’équivalent de 24 années de son utilisation. D’où l’importance de le faire durer.

Si vraiment votre machine rame, et que les dernières versions de Windows ne sont pas compatibles, n’hésitez pas à installer une distribution gratuite et Open Source Linux telle que Ubuntu.

Si votre appareil dispose de très peu de ressources (processeurs, faible quantité de mémoire vive,..) il existe de nombreuses distributions Linux adaptées telles Lubuntu.

Avant de racheter un ordinateur, essayez d’abord de ressusciter l’actuel.

Les pollutions diverses

Là, il y a  quelques règles élémentaires a appliquer pour limiter les pollutions diverses de l’environnement :

Les achats de manière générale

Il va désormais falloir faire la chasse au superflu. Arrêter d’acheter des choses dont on ne se servira que pour un temps limité. C’est une tâche difficile, au vu du nombre de tentations dans le monde consumériste dans lequel nous baignons. Mais c’est possible!

La publicité

La première étape serait de diminuer fortement la tentation en supprimant l’exposition aux publicités ; en ne regardant plus la télévision (si vous verrez, c’est possible, et rapidement vous allez vraiment vous demander comment vous aviez fait pour passer autant de temps devant).

Sur le web, ce sera par l’usage d’un adblocker (extension du navigateur qui empêche l’affichage de publicités). On recommande le plus honnête, qui consomme peu de ressources, et open source : Ublock (cliquez pour l’installer sur Firefox ou sur Chrome). Avec cette réserve toutefois qu’un grand nombre d’acteurs de la presse vivent de la publicité, et qu’on désactivera son adblocker sur les sites qu’on souhaite soutenir.

Les lieux d’achat

Pour limiter son impact environnemental, il est important de proscrire les centres commerciaux en périphérie des villes. En effet, ces derniers, en plus d’assécher la vitalité des centres villes et d’encourager au « tout voiture », consomment chaque année d’énormes surfaces agricoles pour les transformer en parking et autres temples de consommation.

Réduire, réduire, réduire

Pour les plus motivés, il est possible de limiter le nombre d’objets dont on dispose. C’est même pour certains l’occasion de retrouver un certain équilibre; de retourner à des choses vraies, en retrouvant le plaisir de la simplicité. On appelle ces précurseurs personnes les minimalistes.

Se mobiliser et alerter

Pour être écolo jusqu’au bout des doigts, vous pouvez parler de votre démarche autour de vous. Vous pouvez aussi adhérer, vous mobiliser, ou faire un don à une association de préservation de l’environnement, généraliste ou sur un thème précis, à portée locale ou internationale. Voici quelques exemples d’associations que vous pouvez consulter :

Quelques requêtes sur les thèmes qui vous tiennent à cœur sur votre moteur de recherche favori vous donneront un plus ample aperçu du foisonnement d’associations de préservation de l’environnement près de chez vous. Rien ne vaut l’action « de terrain » (à travers du temps ou un don) pour contribuer à faire bouger les choses !

En temps de période électorale, soutenez les listes écologiques et citoyennes ; votre impact sera décuplé par l’action politique ! Pensez à vous inscrire sur les listes électorales (dans les grandes villes, en ligne et en 5 minutes). Vous pouvez rejoindre celles de votre ville, comme conduite par Julie Laernoes à Nantes, ou David Belliard à Paris pour les municipales de 2020, afin de mettre l’écologie à la mairie.

S’informer

Un individu informé en vaut deux. Sur l’environnement, vous pouvez consulter:

On s’y met ?

Voici quelques pistes pour commencer votre formation en écologie appliquée à la vie quotidienne. Si vous avez des suggestions pour compléter cet article, n’hésitez pas à en faire part dans les commentaires.

Bien-sûr, il est très difficile d’être cohérent lorsqu’on veut adopter une démarche écologique. Tout n’est pas tout noir ou tout blanc. Mais vous avez désormais quelques clés pour limiter votre impact sur notre environnement.

Pour poursuivre, vous pouvez: